2015-12-15

Zébrures écarlates : texte en 4e de couverture

Voici le texte retenu par mon éditeur qui paraîtra sur la quatrième de couverture de Zébrures écarlates :

« En entrant dans l’appartement surchauffé, Ives d’Arch eut l’impression de pénétrer dans un sauna. En s’approchant de son ordinateur portable son attention fut attirée par le courriel de Llura Solés. D’abord troublé, il en prit rapidement connaissance. Il se rassit devant son ordinateur et, encore sous le choc, il relut le court message. Le dernier contact qu’il avait eu avec la Catalane, qu’il avait rencontrée dans un congrès d’archivistes en 1988 et dont il était tombé follement amoureux, remontait à 2001. Elle lui avait alors abruptement annoncé qu’elle avait fait la connaissance d’un certain Joan et qu’ils avaient l’intention de se marier. Depuis, il avait vainement tenté d’entrer en contact avec elle. Llura Solés n’avait plus donné signe de vie. Et voilà qu’elle réapparaissait dans le décor en lui envoyant ce courriel à la fois énigmatique et intrigant. »

Ceci est le point de départ de la première aventure du détective archiviste québécois Ives d’Arch. Assassinats et attentat au colis piégé, faux documents et précieuses archives, somptueuses soirées et nuits voluptueuses constituent l’essence même de ce polar dont l’intrigue se déroule au Québec, en France et en Catalogne et dans laquelle évolue une panoplie de personnages hors du commun.


2 commentaires:

Anonyme a dit...

J'ai été captivé par I'intrigue, et l'enquête d'Ives d'Arch m'a tenu en haleine jusqu'à la fin.
J'ai bien aimé aussi Ives d'Arch lui-même, notamment lorsqu'il pique une colère.
Les informations sur les plans historique, géographique et politique sont très nombreuses et très intéressantes, on y apprend énormément de choses (et on en savoure plusieurs lorsqu'on est en plus un lecteur qui réside dans la ville de Québec ... et est souverainiste ...)
Bref, j'ai beaucoup aimé. Bravo!

Deux petits bémols en terminant:
J'ai trouvé que la libido des deux personnages principaux, prenait beaucoup ( trop) de place et j'aurais aimé que l'enquête comme telle commence plus tôt ....

Jacques

Michel Roberge a dit...

Merci pour ton commentaire.